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ASSOCIATION FRANÇAISE des PÈLERINS de SAINT JACQUES de COMPOSTELLE


Pendant la guerre arabo-israélienne de 1948, saint Jacques protège la cathédrale arménienne ortodoxe de Jérusalem

Ce fut une nuit de la guerre de 1948. Des obus de toutes tailles pleuvaient par dizaines tout autour de la cathédrale Saint-Jacques le Majeur (Sourp Kelkhatir) de Jérusalem, située dans le quartier arménien de la vieille ville. Au milieu du vacarme, on vit, au dessus des toits, un personnage vêtu de blanc se déplacer dans un halo lumineux. Il repoussait manifestement de la main les projectiles qui se dirigeaient vers le sanctuaire (1). Tous les témoins attribuent le miracle à notre Jacques, le Majeur, celui qu'on vénère à Compostelle.

(1) Celui-ci s'appelle familièrement "des Saints Jacques" (Serpotz Agopiantz) car outre la tête de notre saint Jacques "fils de Zébédée", il abrite le sépulcre d'un autre saint Jacques : le "fils d'Alphée", saint Jacques "le Mineur", l'un des douze compagnons du Christ ? Le premier évêque de Jérusalem ?

(2) À partir de l'Atlas Vidal-Lablache de 1894

La cathédrale comporte 3 nefs. En entrant, sur la gauche, il y a 3 petites chapelles. C'est dans la 3e que se trouve, selon la tradition, la tête de l'Apôtre saint Jacques le Majeur.


Quartier arménien
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